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Comprendre le cheminement en STIM du secondaire aux programmes universitaires

3 juin 2016 Collégial

Le Conseil ontarien de la qualité de l’enseignement supérieur (HEQCO) s’est penché sur les facteurs qui font que les étudiant choisissent les cours de mathématiques et de sciences nécessaires pour les programmes universitaires en sciences, technologies, ingénierie et mathématiques (STIM).

Les domaines des sciences, des technologies, de l’ingénierie et des mathématiques (STIM) comptent pour une part importante de la création d’emplois. En choisissant cette carrière, les élèves doivent suivre des cours préalables au secondaire, présenter une demande d’admission et s’inscrire à un programme postsecondaire en STIM.

Publié en 2016 par le Conseil ontarien de la qualité de l’enseignement supérieur (HEQCO) Comprendre le cheminement en STIM du secondaire aux programmes universitaires examine les facteurs qui font que les étudiants persévèrent, c’est à dire qu’ils prennent les cours de mathématiques et de sciences nécessaires pour les programmes universitaires en STIM.

Deux principales constatations empiriques

1) Les résultats scolaires

La cause d’abandon la plus fréquente est justifiée par les notes obtenues dans les cours de sciences et de mathématiques, particulièrement à l’étape où la matière devient facultative.

2) Le nombre de cours préuniversitaires

Le nombre de cours et la moyenne pondérée cumulative obtenue dans ces cours sont corrélés avec la probabilité qu’un étudiant s’inscrive à un programme de STIM. En d’autres mots, un étudiant qui débute ses études avec un horaire très chargé a plus de risque d’abandonner ce choix de carrière.

« Les facteurs non scolaires, comme le sexe, le lieu de naissance, le revenu moyen et d’autres caractéristiques du quartier, jouent des rôles prévisibles mais quantitativement peu importants. »

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