Face à certaines critiques formulées à l’endroit des programmes de formation universitaire de courte durée, les établissements du réseau de l’Université du Québec (UQ) ont souhaité effectuer un état des lieux.
Le rapport Rôles et usages des programmes de courte durée et des programmes constitutifs de grade permet ainsi de répondre aux principaux questionnements et critiques soulevés à l’égard des programmes de formation de courte durée et de mettre en évidence les véritables enjeux sur lesquels une attention doit être portée.
Le rapport constate que :
Le rapport conclut que la présence de ces formations courtes est bénéfique à plusieurs égards :
Le rapport s’intéressait au PCC de 1er cycle, mais aussi de 2e cycle. À propos de ces dernières, le rapport indique :
Visant généralement un enrichissement des connaissances et des compétences professionnelles de niveau supérieur, les PCC de 2e cycle représentent une façon de mieux prendre en compte les besoins de formation tout au long de la vie, incarnés à la fois par des individus qui désirent perfectionner leurs compétences professionnelles, rehausser leur niveau de compétences, se donner de meilleures chances de requalification professionnelle ou de mobilité sociale, ou ayant simplement le désir de vivre une expérience intellectuelle pour combler des besoins de développement personnel ou culturel.
Quant aux recommandations effectuées, concernant entre autres le référentiel commun relatif aux types de programme, les pratiques d’assurance qualité et le cheminement des étudiants au sein de ces formations, elles sont semblables à celles proposées par le Conseil supérieur de l’éducation dans les rapports :
Mots-clés: Politiques et programmes publics